Tableau mythique de la Taverne Belley de la rue Saint-Paul du Vieux-Port de Québec. Cette dame, pendant plus de deux décennies, fut témoin de l'ambiance houblonnée qui y régnait tout comme de ces célèbres tournois de billard. D'ailleurs, de sa main droite, elle tient le verre emblématique de la nouvelle administration de ce débit de boisson connu depuis 1868. Sa présence colorée a évidemment accompagné certaines âmes solitaires. Le propriétaire, Conrad Routhier, fut un mentor auprès des artistes locaux comme Denys Morisset, Aristide Gagnon, Yves Bussièr et bien d'autres. Le titre complet de cette œuvre , qui est en bas à droite , est "Fille de la rue Saint-Paul à Québec, en 1949". Le chiffre 4 suivant la date '88 près de la signature indique qu'il s'agit de son quatrième tableau de l'année 1988.

En 1975, l’artiste Denys Morisset délaisse l’huile et les pinceaux au profit de l’acrylique qu’il appose à l’aide de rouleaux. C’est cette technique qu’il conservera pour la suite de son expression picturale jusqu’à son décès en 1990. Au dos de cette œuvre, nous voyons le titre complet de la main de l’artiste; "Champs d’hiver à Saint-Raymond ». Le chiffre 45 suivant la date ‘77, près de la signature, dénombre son quarante-cinquième tableau de l’année 1977.

En 1975, l’artiste Denys Morisset délaisse l’huile et les pinceaux au profit de l’acrylique qu’il appose à l’aide de rouleaux. C’est cette technique qu’il conserve pour la suite de son expression picturale jusqu’à son décès en 1990. Au dos de cette œuvre, nous voyons le titre inscrit de la main de l’artiste: « Manitoba ».

Oeuvre remise à mon frère André qui rencontrait Denys au Bailey's. Reçue en 1987 et signée à la main par Denys. Dans ce même cadre depuis.

Une œuvre inspirée par Alfred Pellan, et pour cause. M. Pellan était un ami de son père Gérard Morisset. Ce dernier recevait occasionnellement au souper dominical les Alfred Pellan, Jean-Paul Lemieux et Omer Parent. De cette façon, Denys était en contact autant à leurs discussions qu’à la visite de leurs ateliers. Au dos de cette œuvre se trouve une autre peinture inachevée et abîmée. Cette pratique était courante chez les jeunes peintres en manque de moyens. Naturellement, cette dernière n’est ni signée, ni datée.

Œuvre d’inspiration « Cosgrove ». Cette œuvre unique dans la production du jeune Denys Morisset a été offerte à sa mère en 1951. Au dos, nous retrouvons une esquisse de nature morte au travers laquelle nous pouvons lire au crayon plomb; « Cadeau de Denys à maman Margot, oct. 51 ». L’encadrement est l’original de cette époque.

Œuvre d’inspiration « automatiste ». Une, parmi tant d’autres, qu’il réalisera avec de l’huile à la spatule de 1959 à 1961. Plusieurs ont été présentées dans des expositions autant à Québec qu’à Montréal.

Tableau exécuté suite à une séance de photo anamorphique avec l'actrice Léa-Marie Cantin assise sur un fauteuil berçant de la collection Morisset ayant appartenu à Charles Baillargé. Cette œuvre, comme tant d'autres, a orné les murs de la Taverne Belley.

En 1975, l’artiste Denys Morisset délaisse l’huile et les pinceaux au profit de l’acrylique qu’il appose à l’aide de rouleaux. C’est cette technique qu’il conserve pour la suite de son expression picturale jusqu’à son décès en 1990. Le titre complet qui est à gauche en bas de l’œuvre est; « Torso di donna vivente posto su uno zoccolo di falso marmo blu » (Torse de femme vivante posé sur un socle en faux marbre bleu). Le chiffre 42 suivant la date ‘87, près de la signature, dénombre son quarante-deuxième tableau de l’année 1987.

Œuvre d’inspiration « automatiste ». Une, parmi tant d’autres, qu’il réalisera avec de l’huile à la spatule de 1959 à 1961. Plusieurs ont été présentées dans des expositions autant à Québec qu’à Montréal. Ce tableau est unique par sa grande taille. Au dos, nous remarquons qu’il y a deux câbles pour l’accrochage car, selon son emplacement, il peut se présenter à l’horizontal. Par contre sa conception originale est à la verticale et la signature se trouve en bas à droite.

Portrait à l’huile retouché le 12 janvier 1953 d’une œuvre de janvier 1950 selon cette seconde date en parenthèse en dessous de la signature. Au dos se trouve le détail d’un autre tableau qui est également signé. Cette signature « MORY » de juillet 1949 est celle de son adolescence. Plus tard, il l’utilisera de nouveau pour signer ses caricatures dans le journal « À Propos » en 1973 et 1974.